Par les routes

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Le monde se divise en deux catégories. Ceux qui partent. Et ceux qui restent. La quarantaine, écrivain, Sacha quitte Paris pour le calme d’une petite ville du Sud. À peine installé, il retrouve son ami de jeunesse. Celui qu’il a toujours appelé l’autostoppeur vit désormais avec Marie et leur fils, habitués à ses disparitions et ses retours inopinés. Mais l’arrivée de Sacha bouleverse cet équilibre familial. Entre Sacha et Marie, les liens se resserrent. Que vaut la liberté face à l’amitié et à l’amour ? Toute la gamme des sentiments résonne dans ce roman. Par les routes est délicat, léger et profond à la fois. Grégoire Leménager, L’Obs. Par les routes raconte le jeu magnétique d’attraction et de répulsion qui s’opère entre les êtres. Il suit le dessin complexe des lignes de vie qui se déroulent et s’emmêlent, parfois se cassent ou se dégagent pour avancer seules sur de longues distances. Un roman grisant. Marine Landrot, Télérama. Sylvain Prudhomme est un magicien. Tout son art consiste précisément à dérouter. Il nous en dit davantage sur nous que nombre de romanciers de sa génération. Par les routes est un roman subtil. Et beau. Donc rare. Vincent Roy, L’Humanité Dimanche. Un des plus beaux romans français de la rentrée. Baptiste Liger, Lire. Un des plus beaux livres de l’année. Grégoire Leménager, France Culture. Ode à l’amitié, à l’altérité, ce roman aussi subtil que généreux convoque nos craintes pour mieux les déjouer. Laëtitia Favro, Le Journal du Dimanche. Un magnifique livre sur l’amitié, la liberté et la fidélité aux idéaux de jeunesse. Sophie Joubert, L’Humanité. Par les routes incarne de manière magistrale la possibilité d’une littérature lumineuse, qui élève avec générosité ses lecteurs sans simplifier les profondes remises en question que l’aspiration à la liberté et au bonheur ne manque pas de susciter. Florence Bouchy, Le Monde des Livres